Derniers articles

  • Afficheurs

    12 janvier 2008, par ppmenegoz

    – Les afficheurs, ou Trims, sont des systèmes qui, comme l’accélérateur, jouent sur le calage de l’aile. Ce montage constitué d’une boucle et d’une sangle est positionné sur les élévateurs « D ». Ce procédé se met en œuvre manuellement, soit par une action sur la bouclerie soit par une traction de la sangle qui y chemine. Les longueurs des élévateurs C et D sont modifiées en priorité. Le réglage de l’aile peut être « à piquer », « à cabrer » ou « au neutre ». Les différents réglages influent en première (...)

  • Aérotest

    12 janvier 2008, par ppmenegoz

    Aérotests est le laboratoire de tests de la FFVL. Les ailes, les parachutes de secours et les sellettes y sont testés en vue de leur homologation.

  • Aérologie

    12 janvier 2008, par ppmenegoz

    – Etude des mouvements de l’air. A grande échelle on parle de météorologie. A petite échelle de micro-aérologie. La météorologie et ses vastes mouvements de l’atmosphère influent sur les conditions locales de vol. Ces dernières varient en fonction de la force et de l’orientation des vents à différentes altitudes, de l’ensoleillement, de la topographie et encore des formations nuageuses.
    - Analyser aérologique : on évalue l’aérologie avant d’engager un vol. La sécurité du pilote dépend en grande partie de (...)

  • Adiabatique

    12 janvier 2008, par ppmenegoz

    Sans échange de chaleur avec le milieu. Ainsi, les variations de température d’un volume d’air qui s’élève ou qui descend sont adiabatiques car elles sont causées par les seules variations de la pression atmosphérique dues aux changement d’altitude.
    On distingue les transformations adiabatiques sèches lorsque l’air est sec (-1°C par 100 mètres pour une masse d’air qui s’élève), et les transformations adiabatiques saturées (-0,6°C/100m) lorsque la vapeur d’eau contenue dans l’air a condensé (nuage).Voir aussi (...)

  • Accélérateur

    12 janvier 2008, par ppmenegoz

    Système permettant d’accroître la vitesse maximale du parapente. En poussant avec ses pieds sur un barreau, le pilote, par l’intermédiaire de cordelettes, agit sur l’un des nombreux systèmes qui équipent les élévateurs des parapentes. Il modifie " à piquer " le calage de son aile. En réduisant ainsi l’incidence de l’aile on peut gagner, selon les profils, entre 5 et 20 km /h. En revanche, le taux de chute augmente et le risque de fermeture frontale s’accroît.
    Les accélérateurs sont parfois montés avec (...)